50% de classes non franciliennes

Historiquement basé à Paris, la démarche de Pariscience est d’ouvrir ses actions et sa riche programmation au plus grand nombre, et notamment aux classes éloignées de l’offre culturelle scientifique.

• En 2020 était créé le projet de Jury en Herbe, ouvert aux classes de toute la France.
• 2023 a vu naître la Reprise du palmarès scolaire en ligne.
• Depuis l’année dernière, la moitié des séances à l’Institut de physique du globe de Paris (IPGP) sont accessibles simultanément en ligne.
• Depuis l’année dernière encore, la nouvelle version du Jury Collégien le rend désormais lui aussi ouvert aux classes de toute la France.

59% de premières participations

Pariscience peut compter sur de nombreux·ses professeur·es fidèles participant chaque année. Une grande place est néanmoins laissée aux professeur·es participant pour la première fois. Cette année, ils était 59%.

Signe d’un fort engouement, Pariscience a reçu 496 demandes d’inscription aux actions scolaires, pour une jauge de 243 classes.

Le Synchrotron SOLEIL a ouvert ses portes pour une journée inédite couplant projections de films et visite de cet impressionnant accélérateur de particules utilisant la lumière.

Les élèves ont pu visiter le Synchrotron SOLEIL avec des médiateur·rices passion·nées du centre et assister à la projection en avant-première de trois épisodes de la série Origines – un conte de la lumière, entrecoupés d’échanges avec Roman Hill, réalisateur de la série, et des scientifiques du centre.

1 projection-rencontre au Synchrotron SOLEIL avec :

• Roman Hill, réalisateur de la série Origines – Un conte de la lumière.
• Guillaume Alizon, assistant ingénieur sur la ligne SAMBA au Synchrotron SOLEIL.
• Edwige Otero, scientifique de ligne sur la ligne DEIMOS au Synchrotron SOLEIL.
• Lucie Depontailler, ingénieure en métrologie optique au Synchrotron SOLEIL.

Dans ce format inédit, Pariscience a proposé pour la première fois une séance autour d’un jeu vidéo : « Amazonia, l’espace à la rescousse », une map créée par le Centre national d’études spatiales (CNES) sur Fortnite, un des jeux vidéo les plus populaires au monde.

Le principe : jouer ensemble sur grand écran accompagné des commentaires d’une experte du CNES pour découvrir le rôle du spatial dans la protection de la biodiversité et pour faire face aux défis climatiques.

L’expérience d’« Amazonia, l’espace à la rescousse » débute au Centre spatial guyanais et nous emmène à pied, en pirogue et en hydravion au cœur de la Guyane française pour sauver la forêt amazonienne à l’aide des données satellites.

1 rencontre à l’IPGP avec :

• Marie Haupais-Buwalda, cheffe du service Communication Numérique du CNES.

En 2025, après 18 ans d’existence, le Jury Lycéen a changé de dimension. Mi-octobre, 3 classes d’Île-de-France ont vécu une immersion inédite de 2 jours au cœur de l’Université Paris Cité, rythmée par des rencontres, des jeux, des projections et des débats.

Le rôle des élèves ? Attribuer un Prix doté de 2000€ par la Région Île-de-France à l’un des 3 documentaires en compétition.

3 séances de projections-rencontres
3 séances d’échanges sur les mondes de l’université de l’audiovisuel
1 temps de débats en petits groupes
1 temps de délibération commun
15 intervenant·es

Sciences en courts

Au 8ème jour (8min) / The Last Garden (8min) / La Légende du colibri (8min) / A Small Garden by The Window (4min) / Astral (4min)

1 projection-rencontre à l’IPGP avec :

• Kaïna Privet, enseignante-chercheuse en écologie au Muséum national d’Histoire naturelle.
• Sami Touafchia, doctorant à l’Institut de Systématique, Évolution, Biodiversité du MNHN.

Écrire l’avenir des océans avec le Labo des histoires

Pendant plusieurs mois, plus de 400 jeunes de toute la France ont participé à des ateliers d’écriture prospective autour de l’avenir des océans. Au printemps 2025, 12 de ces récits ont été adaptés par des étudiant·es en animation des Gobelins Paris.

Justice environnementale, montée des eaux, pollution, ressources marines, solutionnisme technologique, actions citoyennes et médiatiques : en partenariat avec Le Labo des Histoires, le public scolaire de Pariscience a pu découvrir ces courts métrages issus du projet Écrire l’avenir des océans.

A l’homme / Dunkerque-sous-Mer / Une légende pour les baleines / Faire sauter l’aquarium / La grève des Xénobots / Le Plan CORAIL / Yich Manman Dlo / L’Aqua peine / Le journal intime de Sarah / Heureusement il y a Zindus / La Lutte de Doucouré / Ici, c’est aussi ailleurs

1 projection-rencontre à l’IPGP avec :

Guillaume Massé (chef de la Station Marine de Concarneau du MHNH, chargé de recherche CNRS), Sandrine Ngoma, directrice de l’antenne de Paris du Labo des histoires, Carola Moujan (enseignante coordinatrice au Département Design Graphique de l’École Gobelins Paris), Léa Kovarski (réalisatrice de À l’homme), Charlotte Betina (réalisatrice de L’Aqua peine), Héloïse Imbaud (co-réalisatrice de Heureusement il y a Zindus), Billie Comte (co-réalisatrice de Dunkerke-sous-mer), Mélina Benhamou (co-réalisatrice de Yich Manman Dlo), Mahé Porcheron (co-réalisatrice de La grève des Xénobots), Adam Cohen (auteur de la nouvelle ayant inspiré La grève des Xénobots), Cherelle Ghamba (autrice de la nouvelle ayant inspiré La grève des Xénobots).

L’année dernière, Pariscience avait accueilli des jeunes accompagnés par Le Labo des histoires lors d’une séance de sensibilisation aux enjeux liés aux océans autour du film “Inertie” avec des membres de l’ONG BLOOM.